La « Lettre à la Terre » parle du coût réel de la déforestation

Dans Carta da Terra, publié cette semaine par Earth News, Lourival Sant'Anna raconte sa conversation avec Bráulio Borges, chercheur à l'Institut brésilien d'économie de la Fundação Getúlio Vargas et économiste au cabinet de conseil LCA, sur le coût réel de la déforestation. Selon une étude mise à jour par le chercheur, le gain résultant de l’élimination de la déforestation d’ici 2030 s’élève à 1,2 XNUMX milliards de reais. 💸

Ce calcul prend en compte 4 variables quantifiées : perte de productivité agricole, en raison du changement du régime pluviométrique ; frais d'équipement de climatisation, à cause de la chaleur croissante ; pertes pour les propriétaires fonciers dans les régions côtières — où vit une grande partie de la population mondiale —, en raison de l'élévation du niveau de la mer ; C'est nuire à la santé humaine, qui réduisent la productivité et augmentent les coûts des soins médicaux.

PUBLICITÉ

Il convient de noter que l'étude fait référence à déforestation nette, c'est-à-dire que certaines zones peuvent être déboisées, à condition qu'elles soient inférieures ou égales aux zones régénérées.

⚠️ La conversation avec Bráulio sera diffusée en trois parties : dimanche, mardi et jeudi, sur la chaîne Terre Nouvelles Terre sur YouTube et les applications de podcast. Ne le manquez pas !

🌳 Autres moments forts de la semaine :

  • O Fonds Amazonie élargira son domaine d'activité, en s'étendant également à la protection des peuples autochtones et à la lutte contre l'exploitation minière illégale.
  • Dans cette nouvelle phase de Fonds Amazonie, la Norvège a déjà contribué à hauteur de 1 milliard de reais et l'Allemagne, à hauteur de 200 millions de reais. Ils ont également exprimé leur intention de collaborer avec les États-Unis, la France, l'Espagne, le Royaume-Uni et le Canada.
  • Si le Brésil n’élimine pas la déforestation illégale d’ici 2030, il ne sera pas en mesure d’éliminer les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050, comme le prévoit l’objectif fixé dans le Accord de paris.
  • Le président de la Banque mondiale, David Malpass, a annoncé qu'il quitterait ses fonctions à la fin de l'exercice, le 30 juin.
  • Le ministre du STJ, Ribeiro Dantas, a rejeté une demande d'injonction dans laquelle la défense entendait annuler le transfert, vers des pénitenciers fédéraux, de 3 personnes accusées du meurtre et de la dissimulation des corps de l'indigène Bruno Pereira et du journaliste britannique Dom Philips.

N'oubliez pas de lire le Charte de la Terre complète!

Lire aussi:

Faire défiler vers le haut