Les jeunes femmes étaient accusées de promouvoir le christianisme et d'entretenir des relations avec des médias opposés au gouvernement iranien, selon l'ONG Hengaw.
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Une troisième femme, qui fait face aux mêmes accusations, est également détenue mais n'a pas encore été condamnée.
Le tribunal iranien a confirmé à l'agence AFP la condamnation pour « propagation de la corruption sur Terre ». Il s’agit de l’accusation la plus grave du code pénal iranien.
(Avec AFP)