Tout au long de cette semaine, d'innombrables vidéos de Allán dos Santos diffusé sur les réseaux sociaux.
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Allán dos Santos, propriétaire de la chaîne Terça Livre, fait l'objet de deux enquêtes du STF qui enquêtent sur la diffusion de fausses nouvelles et le financement d'actes antidémocratiques.
En octobre, Alexandre de Moraes a ordonné l'arrestation préventive du blogueur et, auprès du ministère de la Justice, l'ouverture immédiate de la procédure d'extradition. Allán dos Santos Depuis, il est resté en liberté aux États-Unis.
Profitant de la présence des ministres du STF à New York, Allán dos Santos a participé à des manifestations devant l'hôtel où séjourne Alexandre de Moraes et l'a injurié.
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Le blogueur a déclaré, sans présenter de preuves ni de preuves, que Moraes entretenait des relations avec la faction criminelle Primeiro Comando da Capital (PCC) et avait incité les policiers à appeler à une émeute contre le ministre de la Cour suprême.
Mais pourquoi n'a-t-il pas encore été arrêté ?
Parce que le processus d'extradition n'est pas encore terminé, tout comme l'inscription de son nom sur la liste des personnes recherchées par Interpol (Organisation internationale de police criminelle).
En plus d'ordonner l'extradition de Allán dos Santos, Moraes a ordonné le blocage des comptes bancaires de l'influenceur et la suspension des paiements sur ses chaînes sur des plateformes telles que YouTube, Twitch.TV, Twitter, Instagram et Facebook.
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A extradition est un acte de coopération internationale qui consiste en la livraison d'une personne faisant l'objet d'une enquête, poursuivie ou reconnue coupable d'un ou plusieurs crimes, au pays qui la réclame. Elle peut être demandée aussi bien aux fins de l'instruction de l'enquête ou de la procédure pénale à laquelle répond la personne mise en cause (extradition instructionnelle), que pour l'exécution d'une peine déjà prononcée (extradition exécutoire). Il convient de noter que l'institution de l'extradition nécessite le décret de détention préventive ou la condamnation définitive à une peine privative de liberté et doit être demandée par le pouvoir judiciaire. (Source: Ministère de la justice et de la sécurité publique)
Le ministre du STF a également demandé que le nom du blogueur soit inscrit sur la liste des personnes recherchées par Interpol – ce qui n'a pas encore été fait. Sans cette exigence, les États-Unis ne peuvent pas émettre l’alerte maximale qui amène les autorités à rechercher les personnes faisant l’objet d’une enquête et à mener le processus d’extradition.
Curto conservation :
- Qui est Allan dos Santos et quelles sont les enquêtes contre le blogueur Bolsonaro (G1);
- Allan dos Santos attaque à nouveau STF aux États-Unis ; Pourquoi n'est-il pas arrêté ? (UOL);
- Allan dos Santos s'embrouille et se dispute avec le Brésilien à New York : « Lâche ! » (État de Minas).
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