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Boris Johnson, de nouveau accusé d'avoir violé ses propres règles anti-covid

L'ancien Premier ministre britannique controversé Boris Johnson a dénoncé, ce mercredi (24), comme "étranges et inacceptables" les nouvelles informations transmises à la police, qui l'accuse de nouvelles violations de la réglementation anti-covid pendant la pandémie.

Johnson, 58 ans, a été contraint de démissionner en juillet de l'année dernière en raison d'une série de scandales, notamment de fêtes illégales organisées dans ses bureaux de Downing Street pendant le confinement.

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Le journal Times a rapporté mardi qu'un département gouvernemental, le Cabinet Office, avait transmis à la police de nouvelles informations apparues au cours de l'enquête sur la gestion de la crise sanitaire.

La police de Londres a déclaré qu’elle « évaluait » les preuves de violations « potentielles » de Downing Street entre juin 2020 et mai 2021.

Scotland Yard a également reçu des informations sur les événements se déroulant à Chequers, la résidence de campagne des premiers ministres britanniques.

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Les nouvelles accusations ont été annoncées peu de temps avant qu'une commission parlementaire chargée d'enquêter pour savoir si Johnson avait intentionnellement menti au Parlement en affirmant que toutes les règles étaient respectées n'annonce ses conclusions.

Les avocats de l'ancien Premier ministre ont écrit à la police pour "expliquer en détail pourquoi les allégations du bureau sont complètement fausses", indique un communiqué.

« Aucun contact n’a été établi avec Johnson avant que les allégations erronées ne soient formulées (…). C'est étrange et inacceptable», ajoute la note.

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"Quel que soit l'objectif politique, il est clair qu'il s'agit d'une tentative de prolonger l'enquête (parlementaire) alors qu'elle touche à sa fin et d'affaiblir Johnson", conclut le communiqué.

Un porte-parole de Johnson cité par plusieurs médias britanniques a qualifié les nouvelles allégations de « fraude à motivation politique » et a accusé « des personnes au sein du gouvernement ».

L'ancien Premier ministre a été interrogé en mars pendant plus de trois heures par la commission d'enquête sur les soirées de Downing Street.

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Johnson a assuré « la main sur le cœur » qu’il n’avait pas menti au Parlement. S'il était prouvé le contraire, il pourrait perdre son siège de député.

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