Quels que soient ses efforts – et le recours à des restrictions sévères – la Chine ne parvient pas à se débarrasser du fantôme du Covid-19 et renonce désormais à accueillir la Formule 1 dans le pays l’année prochaine.
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Cette décision intervient après une vague de manifestations en Chine contre les restrictions sanitaires et pour plus de libertés. Et ce malgré les signes d’un possible assouplissement de la part des autorités de leur politique stricte du « zéro Covid ».
Options à l'étude
Plusieurs « options alternatives » sont étudiées par la F1 pour remplacer l’épreuve et maintenir un calendrier de 24 courses, ce qui constituerait un record.
Selon la BBC, le personnel de la F1 n'a pas été libéré de quarantaine en cas d'infection au Covid-19, faisant de cette course dans le pays un événement très risqué pour les équipes au calendrier très serré.
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L'absence de l'étape en Chine, pour la quatrième saison consécutive depuis le début de la pandémie, laisse un écart entre le Grand Prix d'Australie, le 2 avril, et le Grand Prix d'Azerbaïdjan, le 30 avril.
Avec l'AFP
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