Ce mardi (09), l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déploré les informations faisant état d'attaques contre des primates au Brésil, motivées par la peur de la variole du singe, et a insisté sur le fait que les épidémies actuelles sont dues à une transmission interhumaine.
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Lors d'une conférence de presse à Genève, l'épidémiologiste de l'OMS, Margaret Harris, a souligné que la variole du singe tire son nom uniquement du fait qu'elle a été identifiée pour la première fois chez les primates.
« Les gens doivent savoir que la transmission que nous observons actuellement se fait entre humains », a déclaré Harris.
L’épidémiologiste a également déclaré que l’OMS évaluait – en collaboration avec des experts – l'éventuelle adoption d'un nouveau nom pour la variole du singe, après que des scientifiques ont écrit une lettre à l'organisation demandant une nouvelle nomenclature « qui ne soit ni discriminatoire ni stigmatisante ». (G1)
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Avec des informations de l'AFP.
Photo en vedette : Reproduction/Flickr
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