«Six personnes ont été blessées dans un attentat à la bombe à Shevchenkove. Deux autres sont morts », a écrit le gouverneur de Kharkiv, Oleh Synyehubov, sur l'application Telegram, accompagné d'images de pompiers au milieu des décombres et des incendies.
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Dans la ville de Kherson, au sud de Ucrania, le gouverneur Iaroslav Ianouchevitch a dénombré un mort et une personne blessée après une attaque dans un quartier résidentiel.
Dans l'est, les troupes russes ont mené un « bombardement massif » à Kurakhivka qui a fait au moins deux blessés et endommagé des dizaines de maisons, selon le gouvernement local.
La présidence ukrainienne a annoncé dimanche (8) que deux personnes sont mortes et dix autres ont été blessées dans le pays.
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Le même jour, la vice-ministre de la Défense, Hanna Maliar, avait déjà fait état d'une situation « très difficile » à Soledar, une ville située à 15 kilomètres au nord-est de Bakhmut, également à l'est.
L'armée, à son tour, a confirmé que Bakhmut continue d'être « le point le plus sanglant du front, là où se déroulent les affrontements les plus violents ».
Selon les services de renseignement ukrainiens, le Russie se prépare à lancer de nouvelles attaques contre le système électrique du pays.
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Les offensives ont lieu après un cessez-le-feu unilatéral de 36 heures, décrété par le président. Vladimir Poutine vendredi et samedi derniers, à l'occasion du Noël orthodoxe. Même si les affrontements n’ont pas cessé pendant la trêve, ils ont été moins intenses.
(avec AFP)
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