Meta pourrait cesser de recommander les publications Threads sur Facebook et Instagram
Crédits image : Unsplash

Le Meta Oversight Board analyse l’utilisation de l’IA dans la problématique de la pornographie des célébrités

Le Conseil de Surveillance de Meta est en cours d'analyse le traitement par la société de deux images sexuellement explicites de célébrités féminines générées par intelligence artificielle (IA) – qui a circulé sur ses services Facebook et Instagram, a indiqué le conseil mardi (16).

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Le Conseil, qui est financé par le géant des médias sociaux mais fonctionne indépendamment de celui-ci, utilisera les deux exemples pour évaluer l'efficacité globale des politiques et pratiques d'application du géant des médias sociaux. Meta autour des contrefaçons pornographiques créées avec l'intelligence artificielle, a déclaré dans un article de blog.

Les progrès de la technologie de l’IA ont rendu les images, les clips audio et les vidéos fabriqués pratiquement impossibles à distinguer du contenu réel créé par l’homme, ce qui a entraîné la prolifération de contrefaçons sexuelles en ligne, représentant en particulier des femmes et des filles.

Certains dirigeants de l’industrie ont réclamé une législation qui criminaliserait la création de « deep fakes » nuisibles et obligerait les entreprises technologiques à empêcher une telle utilisation de leurs produits.

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Selon les descriptions de cas du Conseil de surveillance, l'un d'eux concerne une image générée par l'IA d'une femme nue ressemblant à une personnalité publique indienne, publiée par un compte Instagram qui ne partage que des images de femmes indiennes générées par l'IA.

L’autre image, a indiqué le Conseil, est apparue dans un groupe Facebook de partage de créations d’intelligence artificielle et présentait une représentation générée par l’IA d’une femme nue ressemblant à « une personnalité publique américaine » avec un homme lui pelotant la poitrine.

Meta a supprimé l’image représentant la femme américaine pour avoir violé sa politique en matière d’intimidation et de harcèlement, qui interdit « les photoshops ou les dessins désobligeants et sexualisés », mais a d’abord abandonné celle représentant la femme indienne et n’a changé de cap qu’après que le conseil d’administration l’a sélectionnée pour examen.

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