Crédits image : Reproduction/Unsplash

Comment préparer un dîner de Noël plus durable ?

Nous sommes au milieu d’une crise climatique et cela n’est nouveau pour personne. Dans cette optique, un dîner de Noël plus durable constitue une bonne alternative à la réduction des émissions de dioxyde de carbone (CO2) et d’autres gaz nocifs pour l’environnement. Puisque l’esprit de Noël est plein de bonnes actions, que diriez-vous de collaborer avec la planète ? Ô Curto expliquera comment cette initiative peut faire une différence.

L'initiative est bonne, mais elle n'est pas simple. À peine pour "empreinte carbone" La quantité de nourriture est indiquée sur l'emballage, il n'est donc pas facile de savoir quelle est l'option la plus durable. Une alternative consiste à rechercher des aliments, en théorie, moins polluants.

PUBLICITÉ

Selon une analyse réalisée par le data scientist Hannah Ritchie, directrice de recherche chez Our World In Data (OWID), L’alimentation est responsable de 1/4 à 1/3 des émissions mondiales. (Le Globe 🚥)

Qui est le plus responsable ?

Il n'y a aucun doute, le bétail C’est le secteur qui provoque les impacts environnementaux les plus négatifs. L’émission moyenne de gaz à effet de serre d’un kg de bœuf est, en général, 1 fois supérieure à celle du porc, ou 8 fois supérieure à celle de la viande de volaille.

Par rapport à une source de protéines végétales, la différence commence à se chiffrer par centaines. Cela signifie que, de loin, le choix du composant protéique est ce qui fait le plus de différence dans l’évaluation de l’impact environnemental d’un repas.

PUBLICITÉ

Prenez simplement cette liste par menu (préparée avec les données d'OWID) :

Émission élevée

  • Du boeuf (99.48 CO²/kg) ou (49.74 CO²/portion de 500g)
  • Riz (4.45 CO²/kg) ou (1.78 CO²/portion de 400g)
  • Tomates (2.09 CO²/kg) ou (627 CO²/portion de 300g)
  • Fromage (23.88 CO²/kg) ou (9.552 CO²/portion de 400g)

Émission moyenne-élevée

  • La viande de porc (12.31 CO²/kg) ou (6.155 CO²/portion de 500g)
  • maïs (1.7 CO²/kg) ou (0.68 CO²/portion de 400g)
  • Pois (0.98 CO²/kg) ou (294 CO²/portion de 300g)
  • Raisins/baies (1.53 CO²/kg) ou (612 CO²/portion de 400g)

Émission moyenne

  • Carne d'aves (9.87 CO²/kg) ou (4.935 CO²/portion de 500g)
  • Pommes de terre (0.46 CO²/kg) ou (184 CO²/portion de 400g)
  • Autres légumes (0.53 CO²/kg) ou (159 CO²/portion de 300g)
  • Fruits secs (0.43 CO²/kg) ou (172 CO²/portion de 400g)

Faible émission

  • Tofu (3.16 CO²/kg) ou (1.58 CO²/portion de 500g)
  • Autres racines (0.43 CO²/kg) ou (172 CO²/portion de 400g)
  • Chou, chou-fleur, etc. (0.51 CO²/kg) ou (153 CO²/portion de 300g)
  • Les agrumes (0.39 CO²/kg) ou (156 CO²/portion de 400g)

Oh, les boissons aussipromeIl y a l’environnement, tu sais ? 🍹 La Pina Colada, par exemple, a un taux d'émission très élevé, de l'ordre de 6,9 ​​g de CO² par kg.. La boisson alcoolisée avec le moins empreinte carbone est la bière avec 0,6 g de CO² par kg, suivie du vin rouge, blanc ou rosé avec 1,87 g de CO² par kg. Le cidre, favori de Noël, émet 1,1 g de CO² par kg. (BBC)

L'échange de nourriture dans dîner de Noël Cela peut être un allié de taille dans la réduction des émissions de carbone, car la consommation de viande peut être réduite. Les produits biologiques peuvent également contribuer à ce voyage, car ils sont exempts de substances toxiques et cultivés par de petits agriculteurs. 

Lire aussi:

(🚥): peut nécessiter une inscription et/ou une signature 

(🇫🇷) : contenu en anglais

(*): le contenu dans d'autres langues est traduit par Google Traducteur

PUBLICITÉ

Faire défiler vers le haut