Selon reportage de Folha de S.Paulo(🚥), un avis du Parquet Fédéral d'Ibama, en date du 27, informe que l'autorité chargée de juger les recours a déclaré la prescription d'amendes car elle comprend que certaines ordonnances dans les procédures ne pas interrompre le décompte des délais de prescription.
PUBLICITÉ
A prescription pénale Cela se produit lorsque l’État ne peut plus punir certains comportements criminels. Cela se produit parce qu'il y a un délai pour appliquer cette sanction. Lorsque ce délai n’est pas respecté, il y a prescription, c’est-à-dire que l’État perd ce droit.
Ibama peut, conformément aux directives réglementaires du ministère public fédéral, empêcher la prescription d'amendes en interrompant le délai de prescription en raison des ordonnances. Cependant, l'administration de l'organisation a fait le contraire.
En décidant de ne pas suivre les directives, Ibama permet à ceux qui ont commis des délits environnementaux de cesser de payer les amendes désormais prescrites.
PUBLICITÉ
Le jugement d'un appel à Ibama relève de la responsabilité du président de l'organisme, poste occupé par Eduardo Fortunato Bim – placé là par l'ancien ministre de l'Environnement, Ricardo Salles (PL) – celui qui a ordonné que « le bétail soit passé », pendant la pandémie de Covid-19.
Ibama se défend, précisant qu'« elle suit la jurisprudence récemment mise à jour des TRF des 1ère, 3ème, 4ème et 5ème régions, ainsi que celle du STJ (Cour Supérieure de Justice), concernant le sujet en question », précise-t-elle. dans une note.
Lire aussi:
(🚥): peut nécessiter une inscription et/ou une signature
(🇫🇷) : contenu en anglais
(*): le contenu dans d'autres langues est traduit par Google Traducteur
PUBLICITÉ