Moins de la moitié des pays en développement et seulement un tiers des petits États insulaires en développement disposent d’un système d’alerte précoce multirisques.
PUBLICITÉ
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, attire l'attention du monde sur le problème dans une présentation vidéo du rapport (????????🇧🇷 Regardez:
De nombreux systèmes d’alerte ne couvrent qu’un seul type de catastrophe naturelle, comme les inondations ou les cyclones, mais l’ONU souligne qu’il est plus important que jamais d’investir dans des systèmes multirisques.
De tels systèmes peuvent par exemple alerter la population sur un risque de liquéfaction des sols après un tremblement de terre ou un glissement de terrain, ou alerter sur une menace épidémiologique après de fortes pluies.
PUBLICITÉ
À l'occasion de la Journée mondiale de la météorologie, le 23 mars, l'ONU a annoncé son intention de garantir à tous les habitants de la planète la protection d'un système d'alerte contre les phénomènes météorologiques extrêmes et le réchauffement climatique dans un délai de cinq ans.
L'OMM présentera un plan d'action pour atteindre cet objectif lors de la prochaine conférence des Nations Unies sur le climat, la COP27, qui aura lieu en novembre en Égypte.
(avec AFP)
Lire aussi:
(🚥): peut nécessiter une inscription et/ou une signature
(🇫🇷) : contenu en anglais
(*): le contenu dans d'autres langues est traduit par Google Traducteur
PUBLICITÉ