Autre indicateur important, le "L'étendue quotidienne des glaces" en Antarctique "a également atteint un niveau record"., dépassant le précédent record de février 2022″, a rapporté le service de surveillance.
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Le National Ice and Snow Data Center des États-Unis (NSIDC) avait déjà alerté le mois dernier sur une réduction de la masse de glace, mais annoncé une superficie réduite à 1,79 million de km2.
Le service Copernicus a attribué la divergence des données à « différents algorithmes » pour mesurer la zone.
L'étendue de la glace au-dessus de l'océan du pôle Sud diminue et se reconstitue de manière cyclique chaque année, avec des variations à chaque saison, mais la réduction détectée par les services de surveillance européens et américains est devenue plus intense.
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A la réduction de la glace de mer représente une élévation du niveau de la mer, car c'est de l'eau salée qui a simplement été gelée.
Mais en fondant, cette barrière révèle l'importante masse continentale gelée, qui subit les effets de la mer. Cette glace est de l'eau douce et, si elle fondait, elle pourrait provoquer une catastrophe.
La glace de mer joue un autre rôle important, celui de l'effet albédo, c'est-à-dire la quantité de rayonnement solaire qu'une surface donnée réfléchit dans l'atmosphère. En fondant, elle est remplacée par la masse sombre de l'océan, qui absorbe davantage de lumière, ce qui provoquecontribue au changement climatique.
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Selon les données du Copernicus, la superficie de la glace de mer de l'Antarctique en février de cette année était de 34 % inférieure à la moyenne, battant ainsi le record mensuel établi en février 2017.
C'est la huitième année consécutive que se produit le phénomène de fonte, dépassant la moyenne historique enregistrée.
(avec AFP)
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